Météo
La planète se réchauffe
Les écolos proposent de nouvelles taxes .
Pour payer l'achat des produits et de leur nouvelles taxes respectives, il vous faudra produire plus donc polluer plus.
Les mouvement écologique ont restructurer les villes. Du coût, on ne peut plus se garer en ville. Si on se gare il faut payer. Comme les places sont rare il faut rouler plus donc polluer plus.
Pour compenser toute les restrictions imposées pour les voitures, les communes on affréter plus de transports en commun. Ce sont des dizaines de cars qui circulent presque vides la plus part du temps. Apres les voitures presque vides, autant de cars circulent presque vides.
Tous les média qui nous font pleurer pour le réchauffement de la planète, utilises des moyens grandioses et hyper polluants pour réaliser leur reportages . Dans les minute qui suivent les émissions, une pub pour une consommation acharnée est faite, nous poussant à faire le contraire de ce qui a été démontrer.
Réchauffement de la planête http://www.routard.com/mag_dossiers/id_dm/21/le_rechauffement_de_la_planete.htm
Inondations, tempêtes, cyclones, pollution, fonte des glaciers, forêts décimées. Le climat serait-il détraqué et les hommes devenus fous ? L'actualité fournit chaque jour davantage de raisons aux organisations non gouvernementales et écologiques de tirer la sonnette d'alarme. Depuis dix ans, elles se réunissent régulièrement pour tenter de rassembler les pays des quatre coins du globe - pays industrialisés en tête - et leur faire adopter une politique d'effort commun afin de réduire les activités humaines responsables des dégâts. Le but : modifier les modes de production de l'activité humaine pour préserver notre belle planète, en réduisant, entre autres, les émissions des gaz à effet de serre, tenus pour responsables du réchauffement planétaire. Mais tout le monde n'adhère pas à ces thèses. Une guerre d'opinion fait rage entre scientifiques sceptiques et écologistes alarmistes, à grands coups de statistiques, de bilans ou de projections. Tout le problème est là : comment tâter le pouls de notre vieille planète ?
Le siecle écoulé affiche à son compteur de nombreux changements climatiques qui apportent de l'eau au moulin des écologistes. Même s'il est délicat d'établir scientifiquement un lien entre ces catastrophes naturelles et le réchauffement de la planète, la MIES (Mission interministérielle de l'Effet de Serre) a répertorié quelques événements climatiques dramatiques survenus ces dernières années, ne serait-ce que sur le territoire français : le cyclone George passe aux Caraïbes en septembre 1998 ; en mai 99, de violents orages font trois morts et plusieurs blessés en Île-de-France ; la même année, un ouragan et la tempête tropicale Lenny s'abattent sur la Guadeloupe et la Martinique ; le Finistère passe les fêtes de Noël 2000 sous les inondations et la Somme déborde en mai 2001. Autant d'exemples qui alertent les écolos. Une batterie de spécialistes s'est donc lancée dans des études climatologiques pour tenter d'établir les liens entre les catastrophes naturelles, le réchauffement de la planète et une activité industrielle débridée. - De plus en plus chaud : depuis la fin du XIXe siècle, la température de surface a augmenté de 0,3 à 0,6 °C, et, depuis 1861, ce sont les années récentes qui ont été les plus chaudes. Selon les travaux des Nations Unies sur le changement climatique, les chercheurs s'accordent à dire que le réchauffement planétaire atteindra de 1,4 à 5,8 °C supplémentaires au cours des cent prochaines années. Les conséquences d'un tel réchauffement se feraient par exemple sentir dans les régions productrices de céréales touchées par la sécheresse, comme les grandes plaines des États-Unis, et dans les régions agricoles de latitude moyenne comme le Canada, la Scandinavie, la Russie et le Japon, qui verraient leur température augmenter. Un document du UNFCCC (United Nations Framework Convention on Climate Change) estime qu'un réchauffement général de 2,5 °C conduirait à l'appauvrissement alimentaire mondial et à l'augmentation des prix des produits. - Toujours plus d'eau : La quantité des précipitations s'est accrue sur les continents aux latitudes élevées de l'hémisphère Nord. Le niveau de la mer a augmenté de 10 à 25 cm au cours des cent dernières années, un phénomène en partie imputable à l'augmentation de la température moyenne du globe. Compte tenu de la fonte des glaces, les experts du GIEC concluent que le niveau de la mer continuera à croître pendant des siècles après la stabilisation de la température moyenne. Ils ont également calculé pour l'an 2100 une élévation de 20 à 90 cm, due à la dilatation thermique de l'eau. L'élévation du niveau de la mer menacerait les régions côtières de certains pays les plus pauvres, comme le Bangladesh ou les petits États insulaires comme les Maldives. - Tempêtes à répétitions : le phénomène climatique El Niño, à l'origine de sécheresses et d'inondations dans de nombreuses parties du globe, s'est renouvelé plus fréquemment entre 1990 et mi-1995 qu'au cours des cent vingt dernières années. Plus généralement, l'augmentation des cyclones dans les régions tropicales et celle des tempêtes dans les latitudes tempérées menaceront à terme les récifs coralliens. - Ça sent le gaz. : L'augmentation de la concentration du gaz à effet de serre depuis l'époque préindustrielle (c'est-à-dire depuis 1750 environ) a conduit à un réchauffement de la planète : les chercheurs du GIEC ont noté un accroissement notable des gaz à effet de serre comme le gaz carbonique (CO2), le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O), qui sont tous les trois dégagés par des activités, comme l'utilisation de combustibles fossiles, la modification de l'utilisation des sols et l'agriculture. Ces gaz ont également une durée de vie plus longue dans l'atmosphère. Et les chercheurs de prédire que, si les émissions de gaz carbonique se maintenaient approximativement à leur niveau de 1994, les concentrations de CO2 dans l'atmosphère s'élèveraient de façon pratiquement constante pendant deux cents ans, pour atteindre près du double de la concentration observée avant l'ère industrielle. Les chercheurs du GIEC supposent que l'augmentation de la concentration de gaz dans l'atmosphère serait à l'origine du réchauffement climatique. Il serait donc aussi responsable du dérèglement du cycle naturel des vents et des précipitations, de l'augmentation du niveau de la mer, et des autres phénomènes développés ci-dessus.
. Au coeur de la glace, le secret du climat par Valérie Masson-Delmotte
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