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Gravité 2

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Gravité quantique

 

© Texte Olivier Esslinger 2003-2006

Reproduction du texte à fins non commerciales autorisée moyennant mention de la source.

La gravité quantique est la branche de la physique théorique tentant d'unifier la mécanique quantique et la relativité générale .

 

Fille de l'ancienne théorie des quanta , la mécanique quantique constitue le pilier d'un ensemble de théories physiques qu'on regroupe sous l'appellation générale de physique quantique . Cette dénomination s'oppose à celle de physique classique , celle-ci échouant dans sa description du monde microscopique - atomes et particules - ainsi que dans celle de certaines propriétés du rayonnement électromagnétique .

Les principes fondamentaux de la mécanique quantique ont été établis essentiellement entre 1925 et 1927 par Bohr , Dirac , de Broglie , Heisenberg , Jordan , Pauli et Schrödinger . Ils permettent une description complète de la dynamique d'une particule massive non relativiste. Bohr a proposé une interprétation du formalisme, appelée interprétation de Copenhague , fondée sur le principe de correspondance .

Les principes de base ont été complétés par Bose et Fermi afin d'autoriser la description d'un ensemble de particules identiques , ouvrant la voie au développement d'une physique statistique quantique. Enfin, en 1930 , le mathématicien Von Neumann a précisé le cadre mathématique rigoureux de la théorie.

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9canique_quantique

 

 

Gravité et accélération

Albert Einstein n'était pas totalement satisfait de la relativité restreinte car elle ne traitait pas des cadres de référence accélérés et ne pouvait pas s'accommoder de la loi de la gravitation universelle telle qu' Isaac Newton l'avait posée. Il se mit donc au travail et aboutit, après 10 ans d'efforts, à une théorie plus générale s'appliquant à tous les cadres de références et donnant une nouvelle interprétation de la gravité : la théorie de la relativité générale .

Le principe d'équivalence

Le point de départ est illustré par l'expérience suivante. Imaginez deux personnes qui se trouvent enfermées dans deux cabines identiques, l'une à la surface de la Terre, l'autre dans l'espace, accrochée à une fusée en pleine accélération. Ces deux observateurs se livrent alors à une petite expérience : ils lâchent une pomme. Le premier voit simplement sa pomme tomber, donc accélérer, sous l'effet de la gravité. Mais que se passe-t-il dans la deuxième cabine ? Celle-ci est accélérée vers le haut par la fusée. Cependant, la pomme, qui vient d'être lâchée, ne suit pas le mouvement. Relativement à la cabine, elle semble donc accélérer vers le bas et tomber. Si la puissance de la fusée est choisie convenablement, la pomme va tomber exactement comme elle le ferait sur Terre. Par conséquent, les deux observateurs sont dans l'incapacité de dire dans quelle cabine ils se trouvent, celle qui est posée sur Terre ou celle qui accélère dans l'espace.

Les deux expériences précédentes se déroulent de manière totalement identique. Les lois de la mécanique sont donc les mêmes dans un système soumis à la gravité et dans un système accéléré. Einstein généralisa cette idée à toutes les lois de la physique et lui donna le nom de principe d'équivalence. Ceci fut le point de départ de sa nouvelle théorie qui allait révolutionner la physique et tout particulièrement l'astrophysique.

La matière et le temps

Deux conséquences de la relativité générale découlent immédiatement du principe d'équivalence. D'abord, le fait que la matière ralentisse le temps. Imaginez l'expérience suivante. Vous vous trouvez au sommet d'une fusée en pleine accélération. Au bas de la fusée se trouve une horloge qui émet un signal lumineux toutes les secondes. Vous observez cette horloge et essayez de mesurer l'intervalle séparant deux signaux. Entre l'émission de la lumière et son arrivée à votre oeil, la vitesse de la fusée augmente puisque celle-ci accélère. Le sommet a donc tendance à fuir devant les rayons lumineux et à retarder le moment du contact. Cet effet est d'autant plus marqué que le temps passe et que la vitesse de la fusée augmente. La durée du trajet de la lumière est donc de plus en plus longue. En conséquence, les rayons lumineux n'arrivent pas à votre oeil toutes les secondes, mais à un rythme légèrement plus faible. Vous observez ainsi que le temps indiqué par cette horloge s'écoule plus lentement que celui de la montre à votre poignet.

Mais, d'après le principe d'équivalence, le même phénomène se produit si l'on considère un bâtiment à la surface de la Terre au lieu d'une fusée en accélération. En conséquence, le temps doit s'écouler plus lentement à la base d'un immeuble qu'à son sommet. Les habitants du rez-de-chaussée vieillissent donc un peu moins vite que ceux du dernier étage. Un effet étonnant, mais vérifié par l'expérience. N'allez pas pour autant déménager de suite. La gravité de la Terre est très faible, ce qui rend cet effet complètement négligeable. La différence ne sera que d'une minuscule fraction de seconde sur toute une vie.

Remarquons que contrairement à la dilatation du temps en relativité restreinte, le ralentissement du temps par la gravité n'est pas réciproque. En effet, si vous êtes au pied de la fusée et observez une horloge au sommet, l'accélération vous précipite vers les rayons lumineux. La durée de leur trajet est de plus en plus courte et le temps paraît s'écouler plus vite en haut. En revenant au cas de l'immeuble à la surface de la Terre, c'est donc toujours encore à la base que le temps s'écoule plus lentement.

La matière et la lumière

La deuxième conséquence immédiate de la relativité générale est l'influence de la gravité sur la propagation de la lumière. Imaginez-vous à nouveau dans la fusée en accélération. Cette fois-ci, vous allumez une torche lumineuse et vous la braquez perpendiculairement à la direction du mouvement. Les photons, une fois émis, ne sont plus liés ni à la lampe, ni à la fusée. L'accélération de cette dernière induit donc un léger décalage entre la hauteur de la torche et celle du point d'impact des rayons lumineux sur la paroi de la fusée. Ainsi, la lumière ne se déplace pas en ligne droite mais est légèrement dévié vers le bas par rapport à la fusée.

Or, d'après le principe d'équivalence, la situation est la même au repos dans un champ de gravité. En présence d'une masse, un rayon lumineux est donc dévié. Cela signifie que si vous allumez une lampe sur Terre, la lumière ne se propagera pas exactement en ligne droite, mais suivra une trajectoire légèrement courbe du fait de la gravité de notre planète. L'effet sera évidemment très faible et passera inaperçu. Mais nous verrons que pour des champs gravitationnels plus forts, il sera tout à fait appréciable.

© Texte Olivier Esslinger 2003-2006

Reproduction du texte à fins non commerciales autorisée moyennant mention de la source.

 

 

Gravitation sur le soleil

Gravitation sur le soleil

La force de gravitation ou pesanteur s'élève à 274 m.s­² (9,81m.s­²) , d'où une vitesse de libération , nécessaire pour s'arracher de sa surface, de 617,6 km/s contre 8 km/s sur Terre. Et, dans la 1ère seconde de chute sur le soleil, un objet, non volatilisé, parcourt 137 m et sa vitesse passe de 0 à 986 km/h. Sur Terre, au cours de sa 1ère seconde de chute, un corps parcourt 4,9 m et sa vitesse est alors de 35, 3 km/h.

       Il exerce sur nous une force de 42 g ( pour un homme de 70 kg ) et 300 T sur un pétrolier de 500 000 T. Il nous attire et donc nous allége.

      Il exerce aussi, une force de 3,8.10 21 kg-force permettant à Saturne d'être maintenue sur son orbite.

     Cette force permet aussi à la Terre d'être maintenue sur son orbite, comme tous les astres. Cette force s'appelle Attraction Universelle   : 

F = k (mM/d²)

 

  Il en est de même avec l'étoile de Bételgeuse , qui est une géante dont la masse est 16 fois le Soleil (3,13.10 31 kg) et le diamètre 800 fois celui-ci (taille de l'orbite de Jupiter ). Elle est située à 520 al de nous, dans la constellation d'Orion , et le Soleil exerce  une force 17,3 milliards de tonnes-force sur elle. Réciproquement, le Soleil subit la même force de la part de Bételgeuse ( principe de l'action et de la réaction de Newton ). Attention à ne pas se laisser influencer par les chiffres, car le Soleil à une action 200 millions de fois plus forte sur nous. Quant à la Lune, elle exerce sur nous, une force d'attraction 170  fois plus faible que celle  du Soleil, mais 1 000 000 fois plus forte que celle de Bételgeuse.

      N'oublions pas les effets causés par la planète Jupiter sur son satellite Io .

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