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. Localisations

. Fréquence

. Prévision des tremblements de terre

. Témoignages

. Signes annonciateurs

. Zones à risque et précautions

. Que faire

 

 

 

 

 

prévoir les Tremblements de terre

 

Les Chiens Peuvent-ils Prévoir des Tremblements de terre?

Les scientifiques ne sont pas sûrs de la manière avec laquelle ils le font, mais quelques chiens peuvent prévoir des tremblements de terre longtemps avant que le premier secousse se fasse sentir. Avec les instruments scientifiques de pointe, ces chiens (et d'autres animaux) sont considérés comme une partie essentielle du système d'avertissement de tremblement de terre national au Japon et en Chine. Les experts ont constaté que les heures ou même les jours avant des tremblements de terre, les chiens commencent à arpenter et à être agités.

Ils deviennent très nerveux pour un rien et dans certain cas, fuguent pour s'éloigner de la zone dangereuse.

En 1975, des fonctionnaires dans la ville chinoise de Haicheng ont été suffisamment alarmés par le comportement peu commun des animaux qu'ils ont commandé à 90.000 résidents d'évacuer la ville. Quelques heures plus tard, un tremblement de terre massif a frappé. Il fut de 7,3 sur l'échelle de Richter et a

détruit 90 pour cent des bâtiments de la ville. Sans avertissement canin, la tragédie humaine aurait été beaucoup plus grave.

Les chercheurs autour du monde, y compris des membres de la société géologique des États-Unis, ont étudié comment les chiens semblent prévoir et sentir les tremblements de terre. Ils spéculent que les chiens peuvent détecter des bruits à haute fréquence profondément à l'intérieur de la terre (les bruits qui

sont trop hauts pour que les humains entendent). Il est également possible que les chiens sentent les frais électrostatiques dans l'atmosphère ou les vibrations dans la terre. Les chiens ont un sens beaucoup plus fin de l'audition et de l'odorât que nous . Ils ressentent des aspects du vrai monde que nous ignorons dans la plupart des cas.

L'information et les conseils contenus sur ce site sont pour votre considération seulement. Veuillez consulter votre vétérinaire pour des conseils spécifiques au sujet du soin et du traitement de votre animal de compagnie.

Séisme . Tremblement de Terre

Un tremblement de terre est l'une des catastrophes naturelles parmi les plus dangereuses. A la différence d'un cyclone ou d'une éruption volcanique, un séisme frappe en quelques secondes ne donnant aucune chance de fuir. On ne peut éviter un séisme mais le principal objectif est de prévoir l'endroit où le futur tremblement de terre se produira.

La Terre bouge à raison de plus d'un million de secousses par an. Bien sûr, cette activité tellurique n'est pas, dans la plupart des cas, perceptible à l'homme.

Notre histoire est marquée de séismes meurtriers qui soulignent la fragilité de notre planète et par là même, de notre société.

 

Un temps à séisme

Le 17 octobre 1989 à Big Sur, à 150 kilomètres au sud de San Francisco, Margaret Owings remarquant que l'air était étrangement lourd et calme pensa :

« C'est un temps à tremblement de terre ».

Et de fait au lieu de suivre la rencontre télévisée de championnat de baseball qui devait se disputer ce soir là, c'est au séisme particulièrement destructeur de Loma Pieta (Californie) qu'assistèrent en direct des millions d'américains.

De nombreuses personnes qui habitent des régions sismiques affirment percevoir l'imminence d'une secousse à certains signes :

  • Comportement anormal des animaux domestiques et animaux sauvages
  • Changement de goût de l'eau des puits
  • Apparition d'étranges lueurs bleutée
  • Grondements sourds émanant du sol
  • Calme inquiétant de l'atmosphère

Encore récemment, les scientifiques attribuaient tous ces témoignages à l'imagination.

Mais, aujourd'hui, le matériel perfectionné leur permet d'enregistrer d'avantage de phénomènes liés aux séismes.

 

Une étrange lueur bleuâtre apparut à l'horizon peu avant le séisme qui, en 1966, secoua Matsushiro, au Japon

Certains supposent qu'existe bien un « temps à séisme ». La compression du sol avant une secousse génère des courants électriques susceptibles de décomposer l'eau du sous-sol et de libérer de l'hydrogène et de l'oxygène dans l'atmosphère.

Quant au calme précédant un tremblement de terre, il serait dû aux brouillards et aux nuages formés sous l'action des ions.

eeSéismes inhabituels

En 1811 et 1812, une série d'étranges tremblements de terre se produisit aux Etats-Unis. Trois secousses, dont l'épicentre se trouvait à New Madrid, dans le Missouri, couchèrent des centaines de kilomètres carrés de forêts, détournèrent le cours du Mississippi et transformèrent en marécages des milliers d'hectares de prairies.

Un soudain affaissement du sol sur 4,5 m de profondeur, détruisit entièrement New Madrid.

La dernière secousse qui eut lieu en février 1812 fut ressentie sur près de 4 millions de kilomètres carrés, soit près de la moitié de la superficie des Etats-Unis.

74 ans après, en 1886, Charleston fut en parti détruit par un séisme.

Ce qui est étrange dans ces deux tremblements de terre, c'est qu'ils n'auraient pas dû se produire à New Madrid et à Charleston.

En effet, ces deux villes se situent au milieu de deux plaques continentales et ne sont donc pas concernées par la théorie de la tectonique des plaques.

De manière incertaine, deux théories ont été avancées pour expliquer ces deux séismes :

Des frictions entre le manteau pâteux et une faille dans la plaque continentale.
La pénétration d'un pluton (masse de magma profond solidifié) dans l'écorce terrestre y créant de fortes tensions.

 

 

Le 17 août 1959, le lac Hebgen, au Montana, s'inclina sous l'effet d'un séisme comme une vulgaire cuvette.
A une extrémité, les habitations furent submergées tandis qu'à l'autre le port se retrouvait à sec.

ggBoue brûlante

En 1783, une suite de séismes ravagea pendant deux mois l'ouest de la Calabre, en Italie. Il débuta par une secousse qui ouvrit dans le sol des crevasses dont certaines atteignaient 45 m de large.
Cela fit jaillir des sources d'eau bouillante. Des centaines d'hommes et d'animaux tombèrent dans ces failles et en furent éjectés par des geysers de boue gazeuse et brûlante.
On déplora plus de 30 000 morts.

 

Cet immeuble de Niigata, au Japon, a été renversé en 1967 par une "liquéfaction du sol" due à un séisme. Le sol s'est transformé en sables mouvants. Des habitants y sont tombés mais sans se noyer car la forte densité de cette "soupe épaisse" leur permettait de flotter

ffConséquences sur la planète du séisme en Asie

Le séisme qui a ravagé l'Asie le 25 décembre 2004 , avec un épicentre à 250 kilomètres au sud-est de Sumatra, a modifié la géographie autour de cette île d'Indonésie, et la secousse a légèrement ébranlé l'ensemble de la planète, "comme une pichenette sur une toupie", selon un scientifique.

 

Les experts savent déjà que le séisme de magnitude 9 a entraîné, localement, un déplacement des côtes de quelque vingt mètres, en certains points d'une zone de rupture de 400 km de long.

Synthèse des conclusions des scientifiques:

"La valeur maximale du glissement de la faille vers le sud-ouest est de 20 mètres sur une quarantaine de kilomètres, et de 15 mètres, de façon répartie, sur plus de 100 km de long".

"Il y a eu également des mouvements verticaux, qui ont pu atteindre à certains endroits un ou deux mètres et des terres se sont soulevées, notamment dans la région de Siberut, une île à 100 km à l'ouest de Sumatra."

"Le tremblement de terre a changé la carte", a déclaré pour sa part à l'AFP Ken Hudnut, un expert de l'Institut géologique américain (US Geological Survey).

"En se basant sur des modèles sismiques, on peut dire que certaines des plus petites îles au sud-ouest des côtes de Sumatra peuvent avoir avancé de 20 mètres vers le sud-ouest", a-t-il ajouté.

La pointe nord-ouest du territoire indonésien de Sumatra pourrait également avoir glissé vers le sud-ouest d'environ 36 mètres, selon le même expert.

ttDossiers complémentaires

 

PREVOIR LES TREMBLEMENTS DE TERRE

Environnement -Janvier 1989

D'après les experts, les tremblements de terre vont devenir plus fréquents et encore plus dévastateurs. Pourquoi ?

Si l'on superpose deux cartes du monde on comprend tout de suite la raison.

- La première carte montre les zones de fractures avec la fréquence et la force des secousses,

- La seconde, les villes de plus de 2 millions d'habitants à l'horizon 2000.

On voit que 4O% de ces villes se trouvent à moins de 200 km d'une zone à risque. Et en l'an 2035, 600 millions de personnes y vivront.

La première des précautions consiste évidemment à améliorer les constructions. Il faut le répéter, ce ne sont pas les tremblements de terre seuls qui tuent, ce sont les bâtiments!

Les maisons s'effondrent en raison de la mauvaise qualité des ciments, du manque de charpentes métalliques ou de joints efficaces.

Même les constructions les mieux protégées peuvent s'écrouler. Une secousse de 7.9 sur l'échelle de Richter se produisant sur la cote est du Japon détruirait 2 millions de bâtiments dans la ville de Tokyo et tuerait 150.000 personnes.

Pourtant les réseaux de tuyaux de gaz sont équipés de systèmes de coupure automatique et les fondations des bâtiments sont sur amortisseurs.

Des constructeurs proposent désormais de monter les bâtiments sur des vérins hydrauliques contrôlés par des détecteurs et des ordinateurs. Ce qui permettrait de contrebalancer les effets des vibrations.

Il existe des méthodes de prévision. La Chine est un des pays les plus avancés dans ce domaine. Les geologues mesurent les changements de température, la tension ou le relâchement des roches du sous-sol.

En Californie, les prévisions indiquent qu'une des zone dangereuse se situe à Parkfield où la chance de secousse grave est de 93% avant 1993. Cela fait froid dans

 

Contrairement aux autres cataclysmes, les tremblements de terre sont très difficiles à prévoir à court terme, non pas par manque de signes et d'instruments de mesure mais plutôt par la complexité et la multitude des données à prendre en compte. Les séismes sont souvent précédés de secousses, de déformations du sol, de modifications des champs électrique et magnétique terrestres et du niveau de la nappe phréatique, ainsi que d'émissions de gaz le long des lignes de fracture. Malheureusement, ces phénomènes se produisent aussi indépendamment de toute activité sismique et dans le cas de séismes violents, ils n'ont jamais été enregistrés de façon cohérente et précise par les réseaux de surveillance.

Jusqu'à présent, la science et le progrès technique ne nous permettent pas de prédire un séisme quelques jours ou quelques semaines à l'avance, ni l'endroit exact où un fort séisme se produira. On peut tout au plus, dans les régions géologiquement très actives , prédire qu'il y aura un fort risque de séisme dans quelques décennies.

Si les tremblements de terre ne peuvent pas être prédits, on peut cependant déterminer des zones où la probabilité d'un séisme est plus ou moins importante. On peut ainsi installer dans les régions à haut risque un réseau de sismographes. Ces derniers, reliés à des systèmes capables de traiter les données fournies en temps réel, permettent de calculer en quelques minutes l'amplitude et l'épicentre de chaque secousse et d'organiser et d'orienter les opérations de secours en conséquence.

Même si nous en savons beaucoup aujourd'hui sur l'origine des séismes, nous sommes beaucoup moins bien informés sur la suite des événements qui les précède et la signification de certains phénomènes ponctuels qui pourraient en être les signes avant-coureurs.
On comprend dès lors que les scientifiques hésitent à engager leur crédibilité dans des prédictions forcément hasardeuses. En fait, la meilleure solution à l'heure actuelle consiste à enregistrer la localisation, la fréquence et la nature des accidents antérieurs et à prendre des mesures en conséquence.

Depuis plus d'un siècle, les sismologues essaient de mettre au point des méthodes permettant de prévoir le lieu précis et l'instant précis où le séisme se produira. Jusqu'à présent, les spécialistes des séismes ne peuvent pas répondre précisément aux questions « où ? » et « quand ?». L'histoire des statistiques sismiques indique toutefois que les tremblements de terre tendent à se reproduire là ils ont eu lieu dans le passé. Au Maroc, la zone la plus exposée reste incontestablement la façade méditerranéenne allant de Tétouan à Al-Hoceima, sachant que toute la chaîne rifaine est une région à haut risque. Aujourd'hui, rien ne permet de dire que le Maroc est à l'abri d'une nouvelle catastrophe comme celle d'Al-Hoceima.
Si l'on ne savait pas précisément quand un séisme allait frapper Al-Hoceima, on savait depuis longtemps qu'il allait frapper cette région. La collision de la plaque africaine contre la plaque eurasienne entraîne un réajustement des failles et des formations géologiques. Ce processus géologique engendre une intense activité sismique relativement forte dans la chaîne rifaine. Lorsque les contraintes sont trop fortes, il y a une grande probabilité de tremblement de terre. Il aura fallu le drame d'Al-Hoceima pour que l'on prenne enfin au sérieux l'idée de mettre en place un système pour la prévention et la prévision des risques de catastrophes naturelles au Maroc.

Les séismes destructeurs sont presque tous causés par la rupture des roches à proximité d'une faille géologiquement active. Le point initial de rupture se situe le plus souvent vers 10 ou 15 km de profondeur. Une fois la faille mise en mouvement à partir de ce point initial, la rupture s'étend sur une zone concernant plusieurs failles secondaires. Quand à la cause première du séisme, elle reste inaccessible à l'investigation directe, et les techniques géophysiques actuelles restent très limitées pour identifier les signes prémonitoires d'une telle rupture.

De nombreux centres de recherches en sismologie étudient les régions où de telles failles ont provoqué des séismes dans le passé. Là où les séismes sont fréquents, comme en Turquie, au Japon, en Californie, les lieux probables des futurs grands séismes sont assez bien identifiés. Depuis le séisme de San Francisco de 1906, le concept retenu par les géophysiciens pour expliquer les séismes est basé sur les observations géodésiques par satellite faites autour de la faille de San Andreas.

Dans les régions où les séismes sont plus rares, il est beaucoup plus difficile de savoir à l'avance où ils se produiront. Les signes géologiques visibles en surface sont alors peu évidents et l'histoire sismologique porte sur une durée généralement trop courte sur un site donné. En ayant recours à des études statistiques qui englobent des régions plus où moins vastes, on peut retrouver quelques certitudes et dire qu'un séisme destructeur y est probable à l'échelle de 100 ans ou de 1000 ans.

 

Eruptions volcaniques

 

Les éruptions volcaniques sont relativement aisées à prévoir, car elles s'accompagnent de nombreux phénomènes physiques et de réactions chimiques qu'il est possible de surveiller indépendamment les uns des autres. Les éruptions sont toujours précédées d'une intense activité sismique et d'une dilatation de la croûte terrestre. Quant au réveil des volcans endormis, quelques capteurs sismiques suffisent pour le détecter à temps et pour donner l'alerte.

Lorsqu'il y a un risque volcanique imminent, on constate à mesure que la lave progresse vers la surface, le sol se gonfle, des gaz sont libérés, en même temps on enregistre des perturbations locales du champ gravitationnel et du champ magnétique de la terre.
L'apparition, la fréquence et l'intensité de ces phénomènes permettent de donner l'alerte à moyen terme à partir des données fournies par un ensemble d'instruments de détection. Ceux-ci analysent les émissions de gaz, les variations dans la composition du sol à la surface et en profondeur et enregistrent les modifications infimes du champ de gravité, du champ magnétique.

Les choses se compliquent à mesure que la lave se rapproche de la surface, concentrant ses effets sur une superficie de plus en plus réduite. Il est alors nécessaire de déployer un nombre croissant d'instruments de mesure pour bien circonscrire la zone la plus à risque. A mesure que la pression augmente, les manifestations chimiques et physiques se multiplient.
Plus l'éruption est imminente, et plus sa prévision devient délicate. C'est pourquoi les prévisions à court terme dans ce domaine sont rares et d'autant moins fiables que l'on ne dispose pas actuellement de capteurs et d'instruments de mesure pour l'ensemble des volcans en activité dans le monde.

En ce qui concerne les volcans répertoriés explosifs et dangereux, le plus simple serait évidemment de circonscrire autour une zone d'accès interdit et d'évacuer les populations environnantes. Mais cela est plus facile à dire qu'à faire pour des raisons socio-économiques évidentes, il n'est pas concevable de déplacer une population entière d'une région.

 

pipol y a plus de 100 millions d'années, le continent indien s'est séparé de l'Afrique, puis, il y a 85 millions d'années, il s'est coupé de Madagascar et a commencé à dériver, un peu comme un morceau de liège flottant sur de l'eau. D'abord vers l'est, puis vers le nord. Il y a 50 millions d'années, ce mouvement vers le nord, de l'ordre de 10 centimètres par an, a été interrompu par un accident gigantesque: la collision de l'Inde avec le continent asiatique. Depuis, cette collision n'en finit pas de durer. Ce fut d'abord l'éjection vers le sud-est du bloc indochinois, puis le soulèvement du plateau tibétain, accompagné de manifestations géologiques grandioses, comme la naissance de la plus haute chaîne de montagnes du monde, l'Himalaya. Ce furent et ce sont encore aujourd'hui de gigantesques tremblements de terre tout au long, et en deçà, de la zone d'affrontement (la suture): ils marquent ce choc de titans entre deux continents massifs.

Telle est l'origine du meurtrier tremblement de terre du Pakistan, mais aussi, indirectement, de celui qui s'est produit au large de Sumatra l'année dernière, avec son terrible tsunami.

Il y a trente-cinq ans, on ne savait rien de cette histoire géologique. Ce sont l'émergence de la théorie globale de la tectonique des plaques et les explorations minutieuses de la zone Himalaya-Tibet et de l'Asie, au premier rang desquelles ont été et sont encore les équipes françaises, qui ont permis de déchiffrer et de comprendre cette histoire complexe, preuve que la Terre est une planète vivante.

Bien sûr, devant ce désastre et ces dizaines de milliers de morts, on s'interroge: puisqu'on a si bien reconstitué l'histoire, ne pouvait-on pas prévoir ces tremblements de terre et prévenir tous ces dégâts, notamment humains?

En matière de prévision, disons très clairement les choses: nous savons déterminer avec exactitude où vont se produire les futurs tremblements de terre, mais, pour l'instant, on ne sait pas dire quand ils auront lieu avec une précision de temps qui intéresse les hommes. Nous ne savons pas et nous le disons sans honte.

En matière de prévention, on connaît les techniques architecturales de la construction parasismique: elles permettraient de diminuer le nombre des victimes et l'ampleur des dégâts, mais tout est question de coût. Les maisons s'effondrent parce qu'elles ne sont pas conçues pour résister aux violentes vibrations du sol. Construire parasismique coûte cher. Pour la prévision comme pour la prévention, les scientifiques progressent avec, hélas! des moyens, notamment en nombre de chercheurs, qui ne sont pas à la hauteur des défis. Et une terrible course de vitesse est engagée entre les progrès de la science et la croissance démographique mondiale, laquelle tend à peupler de plus en plus les zones à risque, conduisant à un nombre de victimes de plus en plus élevé.

La Terre obéit à une fureur particulière contre nous: les tremblements de terre se produisent à leur rythme habituel. Aucune accélération, aucun ralentissement à l'échelle des siècles et des millénaires. Mais la Terre sanctionne notre négligence coupable vis-à-vis des habitants du tiers-monde, leurs habitations, leurs conditions de vie précaires. Au Japon, le même séisme aurait fait de 100 à 1 000 fois moins de morts!

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